Callista resta de longues heures à observer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait impassible, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://yasserb688sol5.bloggazzo.com/32930500/le-antienne-des-sirènes-muettes