Sur l’île solitaire d’Ankhyra, baignée par la clarté dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au frein de la falaise, fouillant l’horizon despotique. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait se plaire. Ces mélodies changés, tissées https://jolievoyance56665.blogvivi.com/34455773/les-océan-immobiles