Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son habituation, attendait que l’obsidienne parle à neuf. La joyau noire semblait absorber la lumière sélénique, vibrer sous la pression du vent, et souvent, sans alerter, elle résonnait de cette voix ancestrale https://griffinahkkk.blog2freedom.com/33901738/les-traces-effacées