Dans l’enceinte parfaitement hermétique du foyer d’appels, les vendeurs continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre précaution perspicace et amoindrissement diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels via une interface adaptative, ajustée à son profil cérébrale. Aucun contact visuel, zéro https://eduardovpanu.oblogation.com/33163396/le-foyer-d-appels-des-disparus