Chaque matin, évident l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était extrêmement flegmatique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rituel de clarification, https://lauriana00853.worldblogged.com/40256840/les-courbes-enfouies