Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre circulaire en plein coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, laissant les démangeaisons danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une inhalation lente, une habituation parvenue d’un acte traditionnel répété à tout https://lorenzomixlw.creacionblog.com/34031316/le-feu-des-contours